Décidément, ma visite de l’exposition VAN GOGH à Auvers sur Oise, au Musée d’Orsay, ne m’a pas laissé indifférent. Déjà très « fan » de son œuvre, je suis revenu de Paris avec un vrai questionnement sur la position à adopter entre impressionnisme et expressionisme.

Ma nature artistique étant tout à la fois thérapeutique, expérimentale et polymorphe, j’ai choisi de laisser faire mes mains, mes pinceaux (ou bien d’autres instruments) plutôt que de partir en de longues discussions avec moi-même.

Nous sommes en février, il pleut sans discontinuer depuis plusieurs jours, j’ai besoin de soleil et, compte tenu de ce temps pourri, je n’irai pas peindre dehors. Je me servirai de souvenirs de vacances passés en famille, à Souffrignac, dans le nord de la Dordogne, le bien nommé « Périgord vert ». Nous y avions loué une vieille bâtisse au bord d’un cours d’eau, le Bandiat, où les nénuphars poussaient à foison.

Comme eux, les souvenirs heureux nés dans la boue de l’époque, remontent à la surface et, au final, me conduisent à peindre une toile « comme un Monet » dans une forme expressionniste.

Prix 500 € ( dont 150 € de cadre)